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Interview exclusive de Bodytime

Découvrez l'histoire de ces deux amis d'enfance, de leur rencontre à la création de Bodytime !

Interview exclusive de Bodytime

Deux amis, des rêves, un projet et le sport comme passion commune.
Lors d’une interview exclusive au sein même de leur société à Lyon, Alexandre VILLANI et Pierre-Jean CABRIERES, sportifs et businessmen accomplis, nous transportent dans leur univers et nous racontent leur aventure. De leur rencontre à la création de leur chaîne Bodytime, Alex et PJ dévoilent les secrets du succès qui les poussent à se surpasser au quotidien. Ils ont fait de leur passion un métier, du bien-être et la performance un lifestyle, pour aider le plus grand nombre à atteindre leur objectif. Découvrez leur histoire…






FitnessBoutique : Qu’est-ce qui t’a poussé à créer Bodytime ?

Pierre-Jean : Je me suis rendu compte que tout ce que je voulais, c’était aider les gens qui avaient vraiment envie d’être sportifs.



FB : Quel est le tout premier sport que tu as pratiqué ?

Alexandre : J’ai commencé avec les premiers sports que je pouvais faire quand j'étais tout petit, où mes parents m’ont inscrit, c'était de l’éveil corporel ou des sortes de gymnastique. J’ai fait un peu de danse tout petit.



FB : Tu es passionné de basket, la NBA c’est pour quand ?

PJ : Au basket je n’ai jamais joué à un grand niveau. Tout le monde te dit “j’aurais pu être un professionnel mais je me suis fait les croisés”... moi aussi j’aurais pu être professionnel mais je me suis fait les croisés (rires). Ce que je veux dire, c’est que je n’avais pas un potentiel de dingue. Par contre, j’étais bosseur et surtout ce que je kiffais (sic) c’était sentir, par exemple, que j’allais être le 5ème joueur de l’équipe, puis passer numéro 3, puis un jour devenir numéro 1. Je kiffais ça ! Je n’ai pas fini en NBA, je ne suis pas devenu le meilleur joueur du monde, mais je kiffais cette progression. Et pourtant le basket était une passion. Tout petit, je voulais en faire un métier, mais je me suis très vite rendu compte à l’adolescence que je n’avais pas envie de sacrifier des choses. Je préférais aller m’amuser avec mes potes que m’entraîner au basket par exemple.



FB : Ton sport passion ?

Alex : Après, j’ai voulu faire du karaté. Je suis tombé malade, et à 6 ans j’ai commencé le foot. J’ai fait du foot pendant 20 ans.



FB : Tu n’as pas continué le basket en club, pourquoi ?

PJ : Assez vite, j’ai compris ça. Ce que j’aimais, ce n’était pas forcément faire des trucs de dingue, mais c’était évoluer, avoir de nouveaux objectifs.



FB : On peut dire que tu es un sportif né ?

Alex : Le sport a toujours rythmé ma vie, surtout petit. Mais ce n’était pas dans un but de faire du sport, c’était le loisir. On faisait beaucoup de vélo, beaucoup de foot, c’était les deux trucs que l’on faisait le plus. On était toujours dehors.



FB : Est-ce que tu as un regret ?

PJ : Un regret ? Ne pas avoir fait ce que je fais à l’heure actuelle plus tôt. (Non en vrai) ça n’est pas vraiment un regret, parce que ça n'était pas possible, je n’étais pas prêt. C’est à dire que la maturité que j’ai acquise maintenant à 30 ans, je ne l’avais pas à 25, et à 25 ans, j’avais la maturité que je n’avais pas à 20 ans. On aimerait forcément faire ça plus tôt, gagner un peu plus d’argent... Qui dit gagner de l’argent, dit embaucher des gens. J’aurais aimé avoir tout ça à l’âge de 20 ans. Mais à 20 ans, je n’avais pas la maturité pour faire tout ça.



FB : Qu’est-ce qui t’a poussé à monter ton entreprise ?

Alex : Mes parents sont commerçants, ils ont tenu un restaurant. J’habitais au-dessus, donc je sais ce que c’est, ce contact avec les gens, le commerce, le business. J’aimais bien !



FB : Comment est-ce que vous vous êtes rencontrés toi et Alex ?

PJ : Pourquoi avec Alex ? C’est que tout de suite en sortie de fac, on a bossé avec une boîte de coaching. On était dans des coachings de luxe : c’était du golf, des centres d’équitation, des grands hôtels, etc. On bossait pas mal et on se voyait très souvent avec Alex, mais pas forcément avec les autres qui étaient avec nous. Et du coup, on a commencé à discuter, et on s’est dit que ce serait bien qu’on monte quelque chose ensemble. On avait un peu la même vision des choses. On était bosseurs, et en même temps on avait envie de proposer quelque chose de nouveau.



FB : Ça ressemblait à quoi vos débuts avec PJ ?

Alex : Je pense qu’on s’est eu au téléphone tous les jours, pendant plusieurs heures parfois, à essayer de savoir “Qu’est-ce qui va marcher ?”, “Qu’est ce qui va plaire ?”, “Comment on peut transformer les gens ?”, “Comment on peut aider ?”. Et on a toujours vu très grand dès le début. On ne s’est pas dit “On va faire un petit truc”. Il y avait quelque chose à faire.



FB : Qu’est ce qui te motive quand tu te fixe un but ?

PJ : Souvent on a un objectif, et ce qui est le plus sympa ou agréable, ce n’est pas forcément d’atteindre l’objectif, c’est le parcours pour aller jusqu'à cet objectif.



FB : Avec tes amis

Alex : Mes amis, par exemple, ça m’embête de les voir galérer pour quelque chose ou ne pas réussir quelque chose. J’aime bien tout le temps donner des conseils, à la limite du moralisateur parfois... Un peu relou (sic)...



FB : Quelle idée avais-tu en tête quand tu as commencé la musculation ?

PJ : Quand on démarre en muscu, au début on va à la salle en ayant un seul objectif en tête : “Je veux prendre 10kg de muscle, etc…” Et après, on se rend compte que finalement, ce qui est bien c’est d’aller à la salle, de partager un moment, soit avec des potes, soit avec soi-même, de mettre la musique, de se concentrer et de kiffer (sic) la séance en elle-même sans forcément penser aux résultats.



FB : Tu as commencé en coachant. Tu fais pareil avec tes proches ?

Alex : Même mes proches je leur dis : “T’as fait ça ? Est-ce que tu as fait comme ça ? T’as pensé à aller voir ça ?”. Alors que je ne suis pas un exemple dans l’organisation ou dans la répartition des tâches, etc. Mais je le dis aux autres. Il y a beaucoup de gens qui ont besoin d’être poussés, qui ont besoin qu’on leur assure que c’est possible en leur disant “Comment ça ? Pourquoi tu crois que tu es pas capable ? etc…”. Et je pense que c’est le genre de vidéo qui me plaît le plus à faire, ce genre de vidéo motivation où on va essayer de délivrer un message, parce que c’est sincère au final.



FB : Quelle est ta plus grande victoire ?

PJ : Notre plus grande fierté en dehors des projets comme HADDES (même si c’est notre plus grande fierté en tant que projet, parce que c’est ce qui sortait le plus de ce qu’on savait faire), c’est surtout d’embaucher des personnes, de faire travailler d’autres personnes, de pouvoir aider nos proches, notre entourage, donner 1000-1500 € avec la société, ou aider les SDF. On donne aussi régulièrement à des associations ou des ONG, parce qu’elles nous démarchent et cette démarche est noble. On se dit qui si on peut aider ces personnes-là, c’est avec plaisir.
Au mois de Mai l’année dernière, on est partis au Kenya pendant une semaine en mission humanitaire.



FB : En quelques mots, Bodytime, c’est quoi ?

Alex : Bodytime, c’est aussi une chaîne YouTube, une bande de potes, une web-série, la muscu, etc. C’est toute une équipe qui travaille derrière, sur les réseaux sociaux, sur le montage des vidéos, sur le tournage des vidéos, qui nous donne des idées pour la suite… Ce sont aussi des vidéos sur plein d’autres sports, la préparation physique, des vidéos avec d’autres Youtubers qui n’ont rien à voir avec le fitness, etc. Bodytime, c’est un état d’esprit… un lifestyle.



“Si tu veux quelque chose que tu n’as jamais eu, fais quelque chose que tu n’as jamais fais”

Tout le monde peut réaliser ses rêves, il ne faut jamais rien lâcher, toujours rester motivé, travailler plus dur que la veille. Alex et PJ souhaitent transmettre cette motivation, l’envie d’être meilleur jour après jour, ne jamais céder face à l’adversité et de rester fidèle à soi-même. Un engagement inflexible qui les définit et que l’on ressent au travers de leurs histoires et de leurs vidéos.

Publié le 26/04/2019



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